Le travail invisible prend différentes formes :
Bien que les femmes aient investi massivement le marché du travail, elles continuent d’assumer la majorité du travail invisible, limitant ainsi leurs opportunités professionnelles et leur indépendance financière. Ce déséquilibre les expose davantage à la précarité et à la pauvreté, y compris à la retraite.
Le travail invisible soutient des secteurs entiers (santé, éducation, services sociaux) et permet aux gouvernements et aux entreprises de réduire leurs coûts, sans être comptabilisé dans le Produit intérieur brut (PIB). Sans lui, de nombreux services publics seraient paralysés et l’économie en subirait les conséquences.
Malgré son rôle fondamental, ce travail demeure non reconnu, invisibilisé et inéquitablement réparti. Il est temps de le rendre visible, de le valoriser et d’assurer une meilleure répartition pour bâtir une société plus juste et égalitaire.